Voici la partie travailler ne liser pas si vous êtes une ame sensible. c'est la partie que j'ai travailler elle est beaucoup plus longue et précise.
CHAPITRE1 FUITE
Sur la rive Est du fleuve Tikopa Pérédas, un jeune homme, accusé de vol malgré son statut de soldat, faisait brûler un feu. Il était maintenant déserteur car il avait été accusé par le comte Bilavret d’avoir volé un sac de farine très rare et trois œufs de phénix. Le jeune homme approchait maintenant de la vingtaine, ses cheveux brun lui arrivaient aux épaules et ses yeux marrons étaient certaines fois animer d’une lueur rouge, ceux ci lui avait donné le surnom du démon guerrier. En plus Pérédas était le meilleur magicien et épéiste de sa section pourtant composé de nombreux mage de combat. Son pouvoir le plus destructeur était Météor caseum pourtant il n’était qu’un apprenti magicien et ce pouvoir dépensait beaucoup d’énergie. Le jeune magicien de combat était maintenant poursuivit par ses anciens compagnons d’armes. Bilavret et lui ne s’entendait vraiment pas.
Sur les plans tactiques le comte essayait de se débarrasser de toutes les personnes qu’il n’aimait pas en les envoyant à une mort certaine. Leurs ennemis avaient été jusque là des Magnits. Les Magnits était des humains qui avaient juré fidélité aux esprits démoniaques ceux ci leurs avaient donné une espérance de vie cinq fois supérieure.
Les ennemis des humains n’avaient adopté aucune stratégie ils privilégiaient le nombre favorisé par les magiciens ennemis qui pratiquaient un atout : le clonage mais aussi la force physique supplémentaire donnée aux fidèles. Ces esprits qui était des magiciens venant de n’importe quelle race, des suppôts d’Ernequinn. Le seul ennemi que l’armée de Pérédas : Minice, Combattait était Tyrinnos et ses milliards de suppôts aux cuirasses noires.
Pérédas regarda son armure et son épée magique Mérédack et pensa au moment ou il n’était qu’un enfant dans un petit village pas très loin de la capitale de Minice son père avait disparu avant sa naissance mais lui avait laissé une épée remarquablement rare et puissante, réputé comme incassable les épée magique était forgé par les dieux ou les elfes. Mérédack était l’une des seules épées forgées par les dieux. Il était possible d’y stocké de la magie et d’y puiser grâce à la pierre sur le pommeau. Le jeune homme se rappela alors l’un des cours qu’il avait eu avant d’intégrer l’armée. Leurs maîtres leur avaient expliqué ce que regorgeait les contrées voisines. Au sud les Revenss de précieux alliés étaient fièrement vêtu d’une armure rouge . Au nord et a l’ouest s’étendait le pays des esprits démoniaques et encore plus au nord une centaine d’île étaient habité par plusieurs civilisations inconnues. Enfin à l’est il y avait un pays habité par des elfes une populations plutôt défensives mais extrêmement puissantes en magie et en attaque qui partageaient leurs territoires avec des Métamorphs, une civilisation guerrières ressemblant beaucoup aux humains mais avait une queue et la capacité de se transformé chacun en un animal précis . Le maître les avaient décris comme des bêtes effroyable, et sans merci, n’ayant aucun scrupule à tuer. Sa pauvre mère devait s’inquiéter toute seule chez elle. Près de lui un flacon explosif fait de poussière de rubis et de dent de gobelins étant d’une rareté exceptionnelle.
Soudain sur la rive ouest vingt cavaliers apparurent l’un d’eux dit
- Démon guerrier rend toi, la potence t’attend.
- Vien me chercher je t’attend
Pérédas commençait peu à peu à avoir des yeux rouge quelque chose en lui s’agitait une sorte de tourbillon. Le magicien monta a cheval après avoir prit le flacon et Mérédack. Puis il lança :
- ventum sablum. Les paumes du démon guerrier jaunirent. un vent plein de sable souffla sur ses ennemis en faisant tomber un d’eux dans la rivière.
Il talonna son cheval vers la frontière ouest de Minice. Les cavaliers le poursuivaient mais d’autre s’y était ajoutés. Alors Pérédas lança le flacon qui explosa sur ses poursuivants une fois la fumée dissipée cinq poursuivants restait encore derrière lui et le rattrapaient.
- fivus flammus annimus. Cria le jeune homme.
Les paumes du magicien rougirent et lancèrent cinq boules de feu.
Une seul d’elle rata sa cible qui rattrapai de plus en plus Pérédas. Celui ci attendit que son adversaire soit a porté de saut et qu’il bande son arc avant de lui lancer son sac de provisions.
Devant le démon guerrier un mur se forma fait de piquier des unité très puissantes contre les cavaliers avec leurs grandes lances.
- Pourquoi Bilavret me veut absolument, cette ordure, ce monstre, toujours avec son masque et sa cape. Ragea Pérédas entre ses dents.
Des archers apparurent derrière les guerriers aux grandes lances. Puis le démon guerrier lança :
- Meteor caseum.
Une météorite transperça le ciel en provoquant un sifflement aigu les soldats qui le purent battirent en retraite les autres furent écraser sous un morceau de roche fondue et enflammée par la magie.
La météorite se réduit en cendre au bout d’un moment il n’en restait rien.
Le déserteur continua sa course folle vers l’Est. Mais à la frontière des Métamorphs les humains et les Métamorphs s’était mis en rang. Les armures en argents contre celles en métaux dorés. Pérédas se rappela tout d’un coup les visages de ses opposants. C’était des jeunes au maximum de vingt ans au minimum de quatorze ans. En fait ils faisaient partie des toutes nouvelles recrues.
Courage se dit Pérédas la frontière est proche continua t-il pour lui tout seul. La frontières et lui étaient maintenant séparés par 1 lieu. Quand soudain une corne de brume se fit entendre. C’était le signalement d’une charge d’homme d’élite les plus fort des soldats humains leurs adversaires n’avaient aucune chance pensa Pérédas.
Au niveau de la frontière les Métamorphs avaient un sens tactique dévolopée et tirèrent des flèches sur les premières lignes humaines, ce qui n’eu pratiquement pas d’efficacité mais qui fit vaciller le moral des attaquants. Les Métamorphs étaient armés comme des humains et n’utilisaient leurs deuxième forme appelé Kiluae chez les elfes. Les armes de siège était aussi identiques dans les deux camps pourtant ennemis. Les humains ayant attaquer par surprise n’avaient pas amenés d’armes de sièges car beaucoup trop voyantes. Des boulets enflammés et mortels s’abattirent sur les humains maintenant diminué. Le général Métamorph dit à son homme de main.
- a ton avis pourquoi il ont amenés une femme enchaîner avec des cordes. Vont ils la pendre ?
- j’en ai bien peur messire.
Le général en question devais avoir vingt ans comme Pérédas mais savait monté un dragons et avait un sens tactique hors norme. Il avait des cheveux bleus attacher dans son dos et des yeux d’un bleu clair époustouflant et une queue de loup bleu aussi. Sa médaille en argent au niveau de son cœur montrait qu’il était général. Magicien lui aussi mais moins fort que Pérédas préférait utiliser ses sens tactiques et son cerveau que foncé tête baisser avec les main plein de jets mortels sur ses ennemis. Maîtrisant une épée longue forgé par des elfes il la tira de son fourreau dorée comme son arme. Son odorat, son ouie et son sixième sens l’indiquait que deux puissances énormes et maléfique n’était pas loin cela lui dépensai de la magie mais l’utilisait au cas où. L’une d’elle était sur le champ de bataille, c’est ce fameux Bilavret pensa le Métamorph. Et une autre s’avançai vers le champ de bataille la monture est un cheval, l’homme qui est dessus à peur, sa force augmente détecta le sixième sens. Un danger énorme est dans ces deux personnages. Le général nommé Mélior prévint ceux qui était autour de lui grâce à son sixième sens.
- Au moins on se bat pas contre des épouvantails. fit l’un d’eux
- Tais toi idiot on vas se faire haché menu les deux dangers son des vrai tueur à peine si tout seul il ne pulvérise pas la moitié de l’armée que l’on as. Pesta le chef. Nous sommes 400 les renfort arrivent dans deux jours et ils sont plus d’un millier
De son cotés Pérédas était couvert de sueur il avait un mal de tête qui persistait et augmentait il puisa de la magie dans Mérédack des bruits de batailles se faisaient entendre juste devant -Pas de chance le seul passage. Ragea Pérédas.
Bientôt une bataille inégale mais qui venait de commencer ravageait la frontière les hommes beaucoup plus nombreux chargeait et passait peu à peu les lignes de défense malgré les transformation de leurs ennemis. Du coté des homme Bilavret était là.
- Bizarre. Parla pour lui même l’épéiste
Soudain il vit une personne sur une estrade en bois avec un bourreau qui attendait le signal de Bilavret.
Il reconnu sa mère. Une rage s’empara de Pérédas qui sauta de cheval et couru encore plus vite que sa monture la lueur blanche lunaire éclairait ce terrible combat. L’ombre du jeune homme était devenu rouge sang et ses yeux flamboyant. Il dégaina son épée transperçant les lignes humaines en un chemin mortel.
- habraim. S’écria le jeune homme.
Son épée fut couverte d’un voile rouge qui transperçait tous les métaux non magiques.
- Tu vas crever. Cria Pérédas.
Un ordre fut donné au bourreau qui attacha la pauvre femme à la corde. Celle ci commençait à s’étrangler avec la corde les mains attaché dans le dos.
Bilavret avait endosser une armure violette avec des gants de piques, des lame aux coudes et aux genou.
- viens me chercher lança t-il
Pérédas arriva à Bilavret asséna de coup d’épée qui furent parer par un bouclier magique et remarqua alors le changement de couleur des yeux de cet homme normalement bleu devenu rouge. L’ennemis avait des cheveux marrons et des yeux normalement bleus était marqué par un sourire méchant. On sentait en lui comme la mort une sorte de puissance maléfique. Il avait l’air d’un ange quand il préparait les plans des batailles et quand il envoyait toute une unité à la mort. Le comte monstrueux donna un coup de coude dans l’épée suivi d’un coup de poing dans le bras la lame empoisonnée transperça celui ci en arrachant un cri au jeune homme. Son autre poing frappa l’estomac et ajouta une autre dose de ce poison dans le corps de la victime. Les lames violettes était maintenant rouge du sang de Pérédas. Le comte pris le jeune homme par le coup en lançant :
- Aspiro magicus.
La magie du magicien fut tout de suite aspirer dans un bracelet nécessaire à ce pouvoir qui était teinté de violet la couleur préféré du comte.
- écoute tu dois essayer de maîtriser ce que tu as en toi, comme moi je viens de t’éclater comme un maître, je n’ai presque rien prononcer le bouclier à été fait à partir de mon esprit . et au fait voilà un souvenir de moi il prit alors Mérédack et l’enfonça dans l’estomac du jeune homme. Mes gants étaient enduits de poison tu va souffrir dans d’atroce souffrance surtout que je t’ai aspirer ta magie. Regarde ta mère est morte.
Des larmes se mirent à coulé du visage de Pérédas. Il venait de réaliser qu’il avait tuer une centaine d’homme et essayer de sauver sa mère pour rien.
- O que c’est touchant tu vas la revoir au paradis. En attendant je t’envoie la où tu voulais allez en revoir et bonne chance si l’un de mes dragons t’attrape en vol pardonne leur ils ont fin. Il le fit décoller et l’envoya vers le pays des Métamorphs.
Sam 2 Mai - 15:23